Bien que plébiscitées, 1 français sur 2 y a déjà fait appel, les médecines douces font régulièrement l’objet d’attaques.
Elle sont accusées d’être une arnaque, largement pratiquées par des charlatans. Figure visible et active de l’éco-système des pratiques complémentaires, Médoucine a aussi fait les frais des détracteurs des médecines douces.
Petit retour sur les faits qui ont agité 2022.
La fronde NoFakeMed
En 2022, Médoucine a été sous le feu d’une attaque lancée par des proches du mouvement NoFakeMed.
Ce sont des sceptiques des bienfaits des médecines douces. Leur objectif est de démontrer par tous les moyens, y compris déloyaux, qu’elles sont inutiles et dangereuses.
Les arguments de ce collectif sont fondés sur un postulat erroné : Médoucine serait une plateforme médicale avec des personnes qui prétendraient donc soigner des maladies sans être médecins.
Or Médoucine ne prétend à aucun moment être une plateforme médicale : nous ne listons que des non médecins, non professionnels de santé, et indiquons des mises en garde sur le site.
De façon générale, les propos de ces détracteurs étaient volontairement trompeurs, et utilisaient principalement quelques détails – trouvés d’ailleurs très souvent en dehors de la plateforme Médoucine – pour discréditer l’ensemble du travail réel et sérieux que font les thérapeutes du réseau et que nous fournissons pour proposer un parcours qualitatif et sécurisé à nos visiteurs.
La presse s’en mêle
Ces attaques suscitent l’intérêt d’une certaine presse ayant pour habitude de tirer à boulet rouge sur les pratiques complémentaires.
Des articles à charge ont été publiés contre Médoucine, nous reprochant d’abriter des charlatans et d’être une arnaque pour nos utilisateurs.
Aucun journaliste n’a voulu s’intéresser à ce que les usagers retirent de ces pratiques ou encore aux liens de Médoucine et de la plupart de ses praticiens avec la médecine conventionnelle.
L’injonction de la DGPP
Alertée par ces remous, la DGPP (Direction Générale de la Protection des Personnes) a passé tout le site au peigne fin et nous a demandé de nous mettre en conformité vis-à-vis de l’acupuncture qui, rappelons-le, fais face en France à un flou juridique.
Nous avons immédiatement réagi pour nous mettre en conformité et la DGPP a clôturé le dossier.
Ce que nous avons appris de cette séquence houleuse
- En l’absence d’encadrement des pratiques complémentaires, notre système de contrôle qualité des praticiens est perfectible, mais permet un écrémage sérieux des praticiens peu formés
- Cette position “d’arbitre” d’un secteur très foisonnant et hétéroclite nous a été reprochée
- Il est primordial de s’engager pour une meilleure reconnaissance des pratiques complémentaires en France
Les actions de Médoucine en faveur des pratiques complémentaires et des praticiens
- Nous créons des ponts avec la médecine conventionnelle, dans une logique de santé intégrative. Voir notre dernière conférence sur le sujet avec Alain Toledano.
- Nous publions des tribunes dans les médias pour faire bouger les opinions et ouvrir le débat.
- Nous avons demandé audience à notre ministre de la santé pour évoquer avec lui la place des pratiques complémentaires dans les parcours de soin et d’accompagnement en santé.
- Nous créons un comité qualité et des groupes de réflexion composés de médecins, de praticiens, d’usagers, de membres de syndicats et d’écoles.
Nous avons reçu beaucoup de soutien
- Des praticiens en premier lieu, qui apprécient notre engagement et notre soutien à leur égard.
- De nos utilisateurs, plus nombreux chaque jour. Les utilisateurs recommandent à 98% leur praticien et nous laissent régulièrement d’excellents avis Google.
- De nos partenaires entreprises et mutuelles qui nous renouvellent sans cesse leur confiance. Ils ont compris l’intérêt des pratiques complémentaires pour leurs salariés et leurs bénéficiaires.
- De médias ouverts qui s’intéressent à la santé des français et à leurs habitudes et usages.
Face à l’adversité, Médoucine s’est renforcé et nous sommes plus déterminés que jamais à permettre à chacun d’agir pour son bien-être et à aider les praticiens à exercer de façon sereine et constructive.
Vous pouvez d’ailleurs consulter notre raison d’être ici.
