Isabelle Vilarem, sophrologue basée à Gouvieux et Paris, partage son expérience et son avis sur le réseau Médoucine.
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En résumé…
Bonjour Isabelle Vilarem, pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
J’ai commencé par la biologie pour finir par une thèse en immunologie, puis j’ai enchainé sur des études vétérinaires. Après des années d’enseignement et de soins aux 30 chevaux de l’école, j’ai géré les services vétérinaires de l’abattoir de Compiègne: un vrai tournant dans ma vie…..qui m’a poussé vers l’alimentation (DU Alimentation Santé Micronutrition), la sophrologie et l’homéopathie.
J’ai alors ouvert un cabinet il y a 8 ans de Micronutrition (ce qui ne se voit pas mais est vital comme les vitamines, les minéraux, les acides gras..) et Sophrologie. Car notre alimentation est gérée par les émotions, les 2 étant intimement liées.
D’où vient cette envie de vous former en tant que praticien ?
J’adore apprendre ! Et le métier de thérapeute est infini: on découvre perpétuellement de nouveaux horizons qui nous permettent d’acquérir de nouvelles « techniques » mais surtout de grandir dans notre pratique professionnelle.
Comment avez-vous obtenu vos premiers clients ?
Je n’ai fait aucune publicité à part mon site internet. Uniquement le bouche à oreille.
Quels sont les difficultés que vous rencontrez dans votre activité de praticien ?
Le marketing car je ne suis pas attirée par cela. J’ai beaucoup de mal à me mettre en action pour prospecter…
Êtes-vous contente du réseau Medoucine ? Pourquoi ?
Oui énormément. Je me suis inscrite en mars 2020 et dès le confinement, j’ai regretté mon inscription, ayant l’impression d’une hémorragie financière. Je n’ai absolument pas regardé le réseau ne l’ayant pas investi. Heureusement, j’ai lu un mail proposant à ceux qui le désiraient de faire un webinaire et j’ai répondu. Ayant perdu toute mon ancienne clientèle lors du confinement, le webinaire a été salutaire et a drainé beaucoup de personnes ! Depuis lors, je remercie tous les jours Médoucine et regarde enfin ce réseau et toutes ses ramifications intelligentes et utiles !
Votre utilisation du réseau Médoucine a ainsi changé depuis ?
Je suis sidérée de voir que j’ai passé 6 mois à ne pas l’utiliser.
Lorsque j’ai vu le résultat du webinaire je me suis dit que c’était juste formidable, extraordinaire.
La balle est dans mon camp de regarder ce qui se passe sur Medoucine. C’est un outil à regarder, à utiliser.
Selon vous, est-il important quand on est praticien d’être dans le réseau Medoucine ? Si oui, pouvez-vous expliquer pourquoi ?
Oui très important. Ce réseau est remarquablement bien fait: son fichier de clients est important ET il propose des fonctionnalités intéressantes: l’agenda (j’ai eu du mal à entrer dedans …), une communauté et des services avec des propositions d’intervention ponctuelle, de lecture d’article, d’écriture, d’échanges avec d’autres thérapeutes. La possibilité de faire de la publicité pour ce que l’on organise… Bref je n’ai pas vu cela dans un autre réseau !
Quel conseil donneriez-vous à un praticien qui se lance ?
Le premier des conseils c’est de se connaître.
On est tous uniques et différents, il faut faire en fonction de sa personnalité, de ce qu’on est au fond de soi.
Le côté marketing et commercial de la profession me répugnait quasiment et c’était difficile pour moi de surmonter ça.
J’ai remarqué que lorsque je discute avec les gens ça va beaucoup mieux. Lorsque je parle aux gens de ce que je fais, c’est beaucoup plus porteur que déposer des flyers.
C’est pour ça que la chaîne YouTube me parle beaucoup, je vais pouvoir parler et transmettre.
En fonction de ce qu’on est on peut choisir de faire des podcasts, de faire des articles, des conférences, d’aller démarcher. C’est vraiment en fonction de son caractère et de sa personnalité.
Il y a une chose qui est commune à tous, c’est Medoucine.
Un grand merci à Isabelle pour son témoignage !
Si vous souhaitez découvrir le profil d’Isabelle sur Medoucine, cliquez ici.
Pour aller plus loin…
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