Je suis très contente du réseau Médoucine pour la visibilité et la caution de sérieux qu’il apporte.
Découvrez l’interview de Christine Clauss, coach professionnelle et praticienne en hypnose du réseau Médoucine.
Auparavant chef d’entreprise, c’est au travers de son rôle dans l’enseignement que Christine décide de se former pour devenir praticienne.
Désormais installée en cabinet à Aix-en-Provence, elle retrace les étapes clés de son parcours et apporte ses conseils au vu de son expérience.
Sont au programme de cet échange fructueux : les leviers que Christine a actionnés pour se faire connaître, sa méthode pour communiquer autour de son activité et son avis sur le réseau Médoucine (et bien plus encore !).
En résumé…
Bonjour Christine Clauss, pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Après un parcours de chef d’entreprise dans plusieurs domaines, j’ai effectué une reconversion choisie dans l’enseignement et la formation.
Puis, j’ai décidé de m’orienter vers le coaching professionnel, qui m’a fait découvrir l’hypnose éricksonienne.
J’exerce désormais ces deux fonctions de Coach Professionnelle et Hypnopraticienne à Aix-en-Provence où j’ai mon cabinet.
D’où vient cette envie de vous former en tant que praticien ?
Quand j’étais dans l’enseignement, j’ai fait partie d’un jury de Mastere.
Après avoir corrigé les mémoires des candidats, je me réjouissais de la soutenance orale, en particulier d’une candidate dont le travail écrit était particulièrement brillant. Mais à l’oral, elle s’est effondrée en larmes, tremblante, prise de panique. J’ai alors compris qu’enseigner ne me suffisait plus, il fallait que j’apporte aussi une aide sur le savoir-être.
D’où ma formation au coaching professionnel à l’Ecole des Psychologues Praticiens à Paris. L’approche intégrative proposée m’a également donné l’envie de me former à l’hypnose éricksonienne. Je suis à présent Maître-Praticien.
Quels ont été les leviers qui ont contribué au développement de votre activité ?
J’ai tout d’abord débuté en tant que coach. Dans ce cadre, la première étape a été de me sentir coach et de dire que j’étais coach. C’est très important : être convaincu de ce qu’on est. Comment convaincre les autres de ce que l’on peut leur apporter si l’on n’est pas soi-même convaincu ?
Puis, le développement de mon activité de coaching s’est fait par le réseau et petit à petit par le bouche à oreille.
Pour l’hypnose, cela s’est également effectué par le biais de mon réseau. J’ai en revanche très vite compris que si je voulais élargir mon réseau, il fallait que je passe à l’action.
Etant issue du monde de l’entreprise, j’ai découvert dans une newsletter économique qu’une start-up française liée aux médecines douces venait d’être récompensée. Quand j’ai lu le pitch de présentation de Médoucine, je me suis dit que cela pouvait être intéressant pour moi. J’ai donc fait la démarche de contacter Médoucine. Immédiatement, le discours qu’on m’a tenu m’a paru cohérent et rassurant. Je dois dire que Médoucine m’a beaucoup aidée à élargir mon réseau.
Enfin, j’estime que faire connaître sa pratique auprès de médecins, ostéopathes, et autres prescripteurs est extrêmement important. Il m’est arrivé de leur proposer d’effectuer avec eux une séance, parce qu’avant de leur proposer à leurs patients, ils savent s’ils peuvent le proposer et ce que c’est.
Comment faites-vous pour communiquer autour de votre activité ?
Avant d’être chef d’entreprise, j’ai été longtemps dans le secteur de la communication.
L’une des bases que j’ai retenu de la communication est de répondre à l’attente de son interlocuteur. Je ne vais ainsi pas tenir le même discours à une dame qui souhaite perdre du poids et un chef d’entreprise qui soulève des problématiques de défis économiques importants à relever.
Ma présentation portera sur la partie qui peut les intéresser et proposer d’éventuelles solutions. Ce qui les intéresse n’est pas ce qui je suis mais ce que je mets à leur disposition.
Continuez-vous à vous former ? Quelle formation faites-vous en parallèle ?
Je me forme dès que j’en ai l’opportunité à des outils complémentaires en fonction de ce que proposent l’EMCC, l’ICF et d’autres.
J’aimerais dans un futur proche aborder les neurosciences.
Apprendre et me former fait vraiment partie de mon ADN.
Quelles seraient vos trois motivations qui vous donnent envie de pratiquer ?
Essentiellement la rencontre avec l’autre ! Mais aussi le fait de découvrir chaque jour un peu plus, et l’absence totale de routine dans mes semaines.
« La solitude du thérapeute entrepreneur », qu’en pensez-vous ?
La solitude de l’entrepreneur, qu’il soit thérapeute ou non, existe bien.
Pour ma part, je la combats en partageant des locaux (et des retours d’expérience) avec deux psychologues cliniciennes, en faisant des échanges de pratiques avec mes pairs quand c’est possible, sans oublier intervision et supervision…
Quels sont vos objectifs pour ces prochains mois ?
J’aimerais faire entrer l’hypnose éricksonienne en entreprise. Si de nombreux chefs d’entreprise y font appel à titre personnel, ils sont encore frileux pour la proposer à leurs collaborateurs, auxquels ils offrent par ailleurs des coachings… Je suis convaincue qu’il y a quantité de problématiques en entreprise qui pourraient se résoudre facilement avec l’hypnose : la gestion de stress, la prise de parole en public, la gestion d’un projet à fort enjeu…
Quel serait votre dernier conseil pour un praticien en médecines complémentaires qui essaye de développer son activité ?
Médoucine, bien sûr ! Plaisanterie mise à part, Médoucine offre une visibilité, difficile à obtenir tout seul quand on débute.
Pouvez-vous nous en dire plus sur votre expérience avec Médoucine ?
Je suis très contente du réseau Médoucine pour la visibilité et la caution de sérieux qu’il apporte.
Je demande dès que je le peux à mes nouveaux clients : « Comment êtes-vous parvenu jusqu’à moi ? ». Lorsqu’il s’agit d’une personne qui a effectué une recherche sur Internet, très souvent, les avis sur mon profil Médoucine sont évoqués.
Quelque chose que j’ai apprécié lors du premier confinement et que nous avons quasiment tous été obligés de fermer nos cabinets, Médoucine nous envoyait des messages pour connaître nos besoins, nous épauler et mettre des choses en place pour que nous ne sentions pas isolés.
Au quotidien nous avons toujours des propositions de webinaires, de formations, et j’apprécie le côté dynamique entre praticiens.
Aviez-vous déjà utilisé un outil / une plateforme tel que Médoucine auparavant ? Si c’est le cas, pourquoi avoir changé pour Médoucine ?
Oui, j’ai utilisé Doctolib, et ai obtenu très très peu de rendez-vous. Il semblerait que ce ne soit pas le réseau vers lequel on se tourne pour les médecines douces.
Si vous deviez recommander Médoucine à un praticien qui hésite, que lui diriez-vous ?
Le coût annuel est assez vite amorti.
Un grand merci à Christine pour avoir partagé son parcours de praticienne à l’occasion de cette interview.
Retrouvez Christine sur son profil Médoucine ainsi que sur sa page Facebook.
Pour aller plus loin…
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