Interview de Clément Gigout, praticien en énergétique traditionnelle chinoise du réseau Médoucine

Il faut pratiquer, pratiquer, pratiquer : plus on acquiert d’expérience plus on devient compétent.

Interview de Clément Gigout, praticien en énergétique traditionnelle chinoise du réseau Médoucine

Découvrez le parcours de Clément Gigout, praticien en énergétique traditionnelle chinoise du réseau Médoucine basé près de Nancy.

Lors de cet échange, Clément revient sur ses débuts en tant que praticien et les actions qu’il a mises en place en amont du lancement de son activité.

Consultez sans attendre la vidéo et l’article ci-dessous pour connaître les démarches qui ont contribué au succès de Clément, ses conseils, et son avis sur le réseau Médoucine.

Découvrez la vidéo :

En résumé…

Bonjour Clément , pouvez-vous nous présenter votre parcours ?

Je suis Clément Gigout, praticien d’énergétique chinoise depuis 4 ans à Fleville devant Nancy. Je me suis formé à l’ILMTC Grand Est à Nancy et je suis titulaire du DNMTC.

J’ai découvert cette pratique grâce aux Arts Martiaux, et la pratique martiale conditionne encore aujourd’hui beaucoup mon attitude comme thérapeute.

D’où vient cette envie de vous former en tant que praticien ?

Le hasard ? Si tant est qu’il existe !

Les arts martiaux m’ont fait découvrir qu’il y avait d’autres médecines que celle dite conventionnelle en Europe. Et l’énergétique chinoise m’a toujours fasciné, elle a quelque chose de « magique ». C’est vrai qui irait se dire que masser le pied soulagerait la migraine ? C’est fou !

Et lors d’un salon sur l’Asie, j’ai découvert que l’on pouvait étudier cette médecine en France. Et là tout à commencé…

Combien de RDV avez-vous environ par mois ?

100

Comment avez-vous obtenu vos premiers clients ?

Le réseau, j’ai commencé très rapidement à pratiquer. Pendant ma formation, j’ai demandé à avoir plein de « cobayes ». Le dojo, est assez corporate, il m’a beaucoup aidé.

Je recommanderais donc de pratiquer beaucoup, de commencer vite, petit, mais d’acquérir de l’expérience.

De ce fait, avant même que j’ouvre mon cabinet, j’avais déjà du monde sur mon agenda.

Avez-vous une autre activité ? Si oui, comment gérez-vous les deux ?

J’ai une activité hospitalière, je fais une journée par semaine de consultations en énergétique chinoise au CHR de Metz Thionville, et je suis également enseignant dans mon école.

Quelle formation continue effectuez-vous actuellement ?

En ce moment, je termine un cursus de 2 ans en spécialité cancérologie. En effet, c’est un sujet très présent dans mon activité hospitalière.

Quelles seraient vos trois motivations qui vous donnent envie de pratiquer ?

Mes trois motivations seraient l’amour, de ce que je fais, des gens que je rencontre; la curiosité, surprise, fascination par la pratique; et l’indépendance, je suis un électron libre.

« La solitude du thérapeute entrepreneur », qu’en pensez-vous ?

A mon sens, il ne faut pas rester seul c’est certain.

J’ai pallié la solitude du thérapeute en m’installant dans un cabinet paramédical dans le cadre de mon activité libérale. Je suis avec trois kinésithérapeutes, une ostéopathe, une orthophoniste, une sophrologue.

Nous sommes ainsi plusieurs praticiens et cela constitue une source de nouveaux consultants.

Ne pas rester seul dans son cabinet est pour moi une stratégie qui a bien fonctionné.

D’autre part, mon activité hospitalière permet aussi de m’entourer et j’ai la chance de ne pas être confronté à cette solitude.

Quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans votre activité de praticien ?

Je dirais avoir des informations claires et communes à tous. Bref, une reconnaissance nationale de nos pratiques.

Quels sont vos objectifs pour ces prochains mois ?

Je travaille sur la création d’un centre de soins de médecine intégrative et la rédaction d’un livre.

Quels seraient vos conseils pour un praticien en médecines complémentaires qui essaye de développer son activité ?

Avoir confiance, confiance au destin, tout arrive au bon moment et pour une bonne raison.

Il faut pratiquer, pratiquer, pratiquer : plus on acquiert d’expérience plus on devient compétent. Cela permet aussi de se faire connaître. Même si vous n’êtes pas encore diplômé, je pense qu’il faut s’autoriser le droit à l’erreur. Si vous êtes étudiant, c’est le moment d’y aller, pour moi cela a été une clé du succès.

Pouvez-vous nous parler de votre expérience avec le réseau Médoucine ?

J’apprécie les rencontres, les propositions de salons, et le travail sur la reconnaissance de nos pratiques.

Pour moi, le réseau Médoucine s’est révélé particulièrement pertinent pendant la crise sanitaire que nous avons vécue. A ce moment là, la solitude était exacerbée. Il y avait des informations qui circulaient, qui s’opposaient, qui se contredisaient et c’était difficile de savoir qui croire et écouter.

Médoucine s’est démarquée en proposant des conférences et un accompagnement. C’était rassurant de savoir qu’on était entourés et que l’on pouvait partager pendant ces moments de crise.

Quel service préférez-vous chez Médoucine ? Pourquoi ?

L’agenda en ligne, car il me fait gagner du temps et le temps au delà de l’argent est ce qu’il y a de plus précieux.

Si vous deviez recommander Médoucine à un praticien qui hésite, que lui diriez-vous ?

Je me suis toujours senti écouté et l’équipe est assez réactive. De plus, Médoucine est compétitive sur les tarifs si on compare à Doctolib par exemple.

Un grand merci à Clément pour avoir partagé son parcours de thérapeute lors de cette interview enrichissante.

Retrouvez Clément sur son profil Médoucine, et n’hésitez pas à suivre son actualité sur son compte Facebook.

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